By Lucas Morel
17 Apr 2025
Dans une valse de pluie et de vent au légendaire Stade San Siro, l'Inter Milan a réussi un exploit digne d'une œuvre de Shakespeare en éliminant le Bayern Munich en quart de finale de la Ligue des Champions, avec un score global de 4-3. C'était un véritable tourbillon d'émotions, où le destin des deux équipes était suspendu à un fil, tel un acrobate sur une corde raide.
À la manière d'un chevalier du football, le défenseur français Benjamin Pavard, qui a troqué le maillot bavarois pour le maillot noir et bleu en 2023, a inscrit son premier but sous ses nouvelles couleurs lors de ce match époustouflant. Ce but, tel un coup de théâtre, est apparu comme un symbole évident de sa renaissance, en marquant de la tête lors du match nul 2-2 contre son ancienne équipe, permettant ainsi à l'Inter de franchir le cap vers les demi-finales.
Ce match, plus captivant qu'un feuilleton à suspense, a débuté avec le Bayern Munich jouant les premiers violons grâce à un but d'Harry Kane, qui a ouvert le score comme un sorcier avec un sortilège de précision. Juste au moment où les Bavarois pensaient avoir la situation bien en main, l'Inter, tel un phoenix, a rapidement renversé la vapeur avec des réalisations de Lautaro Martínez et de Pavard. Mais le suspense était loin d’être terminé : à 14 minutes du coup de sifflet final, Eric Dier a égalisé pour le Bayern, rendant la fin du match aussi nerveuse qu’un dernier acte dans une tragédie grecque. Malgré la tempête qui soufflait sur le terrain, l’Inter a su garder son cap et a grappillé son ticket pour la suite du tournoi.
Pavard, tel un chef d'orchestre en plein concert, a été omniprésent, repoussant les assauts adverses et participant aux œuvres collectives de l'Inter, avec notamment une intervention héroïque pour contrer une tentative de Michael Olise. Alessandro Bastoni, également en grande forme, a été le mur impassible que l'Inter avait besoin, empêchant Olise de marquer avec une bravoure digne des plus grands gladiateurs. Les exploits de Martínez et de Pavard ont constitué les joyaux d'une couronne qui brille de mille feux dans le ciel de la Ligue des Champions.
Le chemin de l'Inter Milan les mène désormais à un duel alléchant contre le FC Barcelone en demi-finales. Une confrontation qui rappelle les belles époques, comme celle de 2010 où l’épopée milanaise à la Ligue des Champions avait fait vibrer les cœurs. Les Nerazzurri, dans un élan de nostalgie, espèrent retranscrire le même scénario et arpenter le chemin du treble cette saison, un exploit qui les ferait entrer encore un peu plus dans la légende.
Benjamin Pavard, le héros du jour, a partagé ses ambitions avec un optimisme débordant : "Nous ne mettons aucune limite à ce que nous pouvons accomplir. Nous avons une grande équipe avec de très bons joueurs et un excellent staff. Il n'y a pas de limite, nous voulons gagner et passer à l'étape suivante." De son côté, Thomas Müller, la voix du Bayern, a dévoilé sa déception, sonnante comme une cloche au crépuscule : "C'est frustrant de ne pas pouvoir disputer la finale à notre stade de Munich. Nous avons tout donné face à l'une des meilleures équipes d'Italie." Une déclaration qui résonne comme un écho des batailles perdues, mais le football, comme la vie, réserve souvent des surprises.
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Passionné par le football et fervent supporter du LOSC depuis mon enfance, j’ai toujours eu à cœur de suivre de près l’actualité de mon club de cœur. Journaliste indépendant et analyste du ballon rond, je partage avec vous les dernières informations, rumeurs de transferts, analyses tactiques et réactions à chaud sur les performances des Dogues. Avec un œil attentif sur le mercato et les coulisses du club, je m'efforce de vous offrir des articles précis, passionnés et engageants. Rejoignez-moi pour vivre ensemble l’aventure du LOSC !
